Alors que je me promenais dans Strasbourg, préoccupé par mes résultats mitigés aux examens et intrigué par l'incendie de la brioche dorée, je vis deux jeunes filles me faire de grands signes à travers une baie vitrée.

Je remet mon col droit, dépoussière mes chaussures et rentre dans le bar, bien décidé d'éclaircir ce mystère. C'est ainsi que j'ai rencontré Raphaëlle et Élodie.

Les ayant ramenées à l'appartement, j'eu l'étrange sentiment qu'elles ne m'étaient pas si inconnues : je me sentais étonnamment familier de leurs éclats de rires et de leur douce présence. Peut-être suis-je l'objet de réminiscences d'une vie antérieure...
Cependant, leur départ est déjà évoqué et j'en suis peiné. Je me sentirai si seul sans mes deux petites fées.

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